[TEST] Rocket League sur Nintendo Switch, qu’est-ce que j’en pense ?
Bon, il est temps de parler d’un jeu que je teste en ce moment, un jeu que j’avais particulièrement envie d’essayer, et notamment sur Nintendo Switch. Vous l’aviez compris en lisant le titre de l’article, je parle bien de la version Nintendo Switch de Rocket League, jeu de foot/cars endiablé que l’on ne présente plus, bébé du studio Psyonix. Sorti récemment sur le Nintendo eShop de la console, Rocket League a toujours éveillé ma curiosité, mais je n’ai jamais eu l’occasion d’y jouer, jusqu’à aujourd’hui. Disponible sur toutes les consoles récentes et sur PC depuis déjà 2015, il est arrivé sur la dernière machine de Nintendo, et j’ai beaucoup de choses à dire le concernant. Voici mon avis sur la version pocket de Rocket League !
Cé koi Roket Ligue ?
Pour les rares personnes qui ne connaissent absolument pas l’existence de Rocket League, brève présentation. C’est principalement un jeu de foot futuriste motorisé, le but est très simple, on prend le véhicule de son choix, on le customise, et on roule vers le terrain. Au centre de l’arène, une grande sphère qui fait office de ballon, en utilisant votre véhicule, vous devez pousser le ballon jusque dans les cages de l’équipe adversaire. Chaque équipe à sa propre couleur (bleue ou orange), il faut faire un maximum de point pour remporter la partie et gagner en expérience afin de monter en niveau. Plus vous montez de niveau, plus vous avez de nouveaux véhicules et nouveaux accessoires qui se débloquent, comme des roues, des nouvelles peintures pour votre véhicule, des stickers et j’en passe. En plus de ça, plusieurs modes de jeux sont disponibles : 1vs1, 2vs2, 3vs3, 4vs4 par exemple. Mais, on peut jouer à autre chose que du foot dans Rocket League, comme du basket, ou encore du hockey. Autant vous dire que vous avez le choix pour passer de bons moments de compétition !
Alors, c’est rigolo ou pas ?
Oh que oui, le fun est immédiat, je m’éclate à jouer à Rocket League. Quel dommage de ne pas y avoir joué avant, mais il n’est jamais trop tard, et puis c’est parfait de le découvrir sur Nintendo Switch aussi. J’ai essayé un peu tout, tous les modes de jeux, globalement en solo, pas encore en coopération, et globalement, je m’amuse bien ! Je ne suis pas un grand fan de jeu de foot, mais clairement, Rocket League n’a rien à voir avec les jeux de foot classiques. Le fait de contrôler un véhicule dans un tel contexte rend la chose bien rigolote, on tente des acrobaties pour marquer des points, l’esprit d’équipe est de mise, on parle par messages pré-écrits à nos coéquipiers, c’est hyper drôle ! C’est rythmé, ça va vite, très vite même, ça bouge dans tous les sens, on se marre de suite. La compétitivité est présente aussi, il faut faire les meilleurs scores possibles pour progresser, ce qui rend la chose assez addictive, difficile de lâcher la manette, on ne voit clairement plus le temps passer. Et c’est une bonne chose. Rocket League, une excellente surprise !
Et la version Switch dans tout ça ?
Après la version PC, la version PS4, et la version Xbox One, c’est au tour de la Nintendo Switch d’avoir sa propre version à emmener partout. Rocket League dans les toilettes, Rocket League dans le train, Rocket League dans le bus, Rocket League partout. Oui, mais une version identique, fluide et aussi jolie que les autres ? Pas exactement. Question fluidité, il n’y a rien à redire, c’est d’ailleurs indispensable dans un jeu comme celui-ci ou la précision et la vitesse est nécessaire pour pleinement profiter du concept. Rocket League version Switch est en 60 FPS constant, pas un seul problème de ralentissement, tout est fluide, tout est ok. Néanmoins, visuellement, c’est pas comme chez les concurrents, un portage qui peut varier du 480p au 720p, ça pique. Et puis l’aliasing est assez prononcé, les textures mettent du temps à s’installer, c’est pas forcément agréable pour les yeux, mais cela n’enlèvera en rien le plaisir du gameplay. Avoir sa version de Rocket League dans la poche, c’est cool en effet, mais il y a des concessions à faire, et elles sont bien présentes.
Du contenu conséquent qui fait plaisir
Pour rester dans le contenu, Rocket League sur Nintendo Switch à de quoi vous amuser durant plusieurs heures. En effet, cette version dispose de tous les modes depuis le départ, avec également tout un tas d’éléments à débloquer. Avoir la possibilité de jouer à plusieurs en ligne c’est top, cette version utilise parfaitement les possibilités nomades de la console afin d’y jouer où que vous voulez. Et c’est ce qui rend cette version indispensable, jouer à Rocket League dans les transports, ça a de la gueule ! Après oui, il ne faut pas se mentir, la version est en deçà en face des versions PC ou Xbox One/PS4, mais le fait de pouvoir emmener son Rocket League dans sa poche (dans son sac plutôt vu la taille de la machine) ajoute un argument que les autres consoles n’ont pas. À vous de bien choisir, dans tous les cas, le plaisir est là !
Conclusion : je surkiffe Rocket League
Bah ouais, j’ai bien fait de me lancer, j’ai adopté Rocket League sur Nintendo Switch et j’ai bien fait. Je le lance quand j’ai quelques minutes à tuer, et c’est parfait pour de courtes sessions. C’est addictif au possible, on relance encore et encore des parties afin de monter en niveau le plus vite possible. Et puis, le fait de débloquer tant d’accessoires et d’équipements assez rapidement ne nous aide pas à raccrocher. La version Nintendo Switch est parfaite pour moi, étant souvent dans les transports, elle sera parfaite dans mon sac à dos le temps d’un trajet. En la connectant à mon réseau 4G, je pourrais même y jouer en ligne, quel plaisir ! J’ai déjà joué avec quelques copains de Twitter d’ailleurs, et c’était très sympa, à refaire d’ailleurs. En tout cas, je valide à 100% Rocket League, je ne peux que vous le conseiller si vous n’avez pas encore eu le temps de l’acquérir. Un must-have online à ne pas louper.