AKoiGéJwé (Août 2017)
Il ne reste plus grand chose avant le passage au mois de septembre et la rentrée, il est donc temps de faire un bilan et de lister les jeux qui m’ont accompagné durant tout le mois d’août. AKoiGéJwé ce mois-ci ? Oh, a beaucoup beaucoup beaucoup… beaucoup de choses. J’ai testé des jeux pour le blog, décompressé avec certains, j’en ai même abandonné d’autres. Bref, cet AKoiGéJwé risque d’être fort en contenu. Des jeux mobiles, des jeux sur consoles, récentes comme anciennes, un bon cocktail de gaming comme je les aime. Et vous allez voir, il n’y avait pas que du joli… Voici AKoiGéJwé durant le mois d’août !
Castlevania : Lords of Shadow (Xbox 360)
Toujours dans mon Castlevania’s Trip (je vous prépare un gros article spécial), je me suis mis aux Castlevania 3D. Et pour ouvrir cet AKoiGéJwé, commençons par celui-ci, Castlevania : Lords of Shadow sur Xbox 360. Je n’avais jamais eu l’occasion d’y jouer, je le connaissais de nom, brièvement aperçu mais sans plus. C’était le moment idéal pour y jouer et voir pourquoi les joueurs aimaient particulièrement cet opus. Lords of Shadow ne fait pas partie de la chronologie des Castlevania, il est à part avec le deuxième et Mirror’s Fate, sorti lui sur Nintendo 3DS. Mais bon, j’y ai joué quand même, je l’ai même terminé récemment, et il m’a beaucoup plus, mais ce n’est pas un Castlevania, clairement. J’avais plus l’impression de jouer à un God of War ou un Prince of Persia, on y retrouve leurs mécaniques, cet aspect escalade à tout bout de champ, et des QTE à toutes les sauces. L’ambiance Castlevania absente, pas ou peu de musiques, une histoire aussi fine que mon gabarit, une atmosphère parfois plate, j’avais du mal à me dire que c’était un Castlevania. Néanmoins, c’était très jouissif et je me suis bien amusé, c’est l’essentiel !
Castlevania : Lords of Shadow 2 (Xbox 360)
Forcément, après avoir terminé le premier opus, il fallait que je fasse sa suite, et en vous l’annonçant sur Twitter, vous n’étiez pas hyper emballé par cette nouvelle. En effet, au bout de quelques secondes, vous étiez nombreux à me répondre avec ce style de réponse : « Bon courage, tu vas en avoir besoin« , « Quelle m**** ce jeu » ou encore « J’ai eu du mal à le finir« , mouais, ça donne envie n’est-ce pas ? Même si je regarde avec attention vos retours chaque jour, j’aime quand même faire mon propre avis et ma propre opinion, alors malgré les réticences et les mises en garde, j’ai lancé Castlevania : Lords of Shadow 2, et j’ai joué, 1h. OH MON DIEU. Mais quelle est cette daube infâme ? Mes yeux saignent encore devant cette horrible suite, après un premier épisode plutôt cool à faire, je me retrouve devant un jeu complètement différent, et pas en bien. J’étais pourtant très hypé, les premiers instants furent agréables, mais alors plus on avance, plus on constate que ce jeu est une calamité. Des phases d’infiltrations à la Splinter Cell, de la possession, des IA faits avec les pieds, rien à voir. J’étais sur le cul, j’étais déçu, et je comprenais vos réactions. C’est assez rare mais face à ça, je n’avais clairement plus l’envie d’y jouer. J’ai stoppé, rangé le jeu dans sa jaquette, et tente d’oublier ce que je venais de voir. Quel cauchemar…
Castlevania : Lament of Innocence (PS2)
Attendez-vous à voir beaucoup de Castlevania les amis, je suis à fond dedans et tente de tous les découvrir. Et ça tombe très bien, troisième jeu de ce mois d’août, c’est un autre opus de la saga : Lament of Innocence sur ma jolie PS2 d’amour. Cet opus prend la place de premier dans la chronologie Castlevania, les prémices de la saga. On y découvre le beau Leon Belmont, qui doit sauver sa bien-aimée Sara, retenue prisonnière dans un lugubre château. Grâce à nos armes, nos sorts et notre volonté, nous allons devoir rentrer dans ce manoir afin de découvrir ce qu’il s’y cache, pour sauver notre amour de toujours. J’ai pris un pied monstre devant Lament of Innocence, clairement. Les musiques sont incroyables, l’ambiance est au rendez-vous, l’atmosphère gothique est maîtrisée, une difficulté croissante, une histoire prenante, bref j’ai adoré. La naissance de Dracula, de la Vampire Killer, j’étais scotché, je garderais d’excellents souvenirs de ce jeu. On peut d’ailleurs rapidement le comparé à du Devil May Cry dans son gameplay, et adorant cette saga, ça lui va très bien. Quel opus de fou, vraiment.
Castlevania : The Dracula X Chronicles (PSP)
Encore un autre Castlevania ce mois-ci, je vous avais prévenu, et pas n’importe lequel. J’ai joué à Castlevania : The Dracula X Chronicles sur PSP. Il faut dire que l’ami Zelgius me l’a beaucoup vendu, je suis un grand fan de ses streams réguliers sur sa chaîne Twitch, et pour mon grand plaisir, il a streamé ce jeu. Et en le regardant, je ne pouvais pas faire autrement que de l’acheter moi aussi. Castlevania : The Dracula X Chronicles est une compilation qui réunit trois épisodes de la saga : la version originale de Castlevania : Rondo of Blood inédite en Europe, son remake, et Symphony of the Night, considéré comme le meilleur de la saga par beaucoup. Avec tout ça, je pense que je suis prêt à kiffer, clairement. Et ce fût le cas, j’ai opté pour commencer par le remake de Rondo of Blood, et putain qu’est-ce que c’était génial ! C’était pas évident, j’en ai chié, je suis mort énormément de fois, mais j’ai pris du plaisir à 100%. Et j’ai réussi à le finir, mais pas à 100% cette fois, je risque d’y retourner prochainement. Malheureusement, je n’ai pas réussi à jouer à Castlevania : Symphony of the Night, je trouve l’écran beaucoup trop petit pour ce jeu. J’y jouerai sur PS1, quand la banque aura accepté de m’autoriser à faire un crédit sur 50 ans pour me l’acheter haha. Je plaisante bien évidemment, quoi que.
Castlevania : Order of Ecclesia (Nintendo DS)
Mon jeu du moment, et bien il est sur Nintendo DS, et c’est encore un Castlevania : Order of Ecclesia. Comme vous le savez, j’adore revenir sur mes anciennes consoles, et la Nintendo DS regorge d’excellents titres qui méritent qu’on s’y attarde. Et c’est le cas de cet opus, que je n’avais jamais fait. On y incarne Shanoa, une mystérieuse et charismatique héroïne, membre de l’ordre d’Ecclesia. Alors que le clan Belmont a disparu et que le vilain Dracula lui, est de retour, c’est à elle seule de récupérer des glyphes magiques afin de le vaincre une bonne fois pour toute. J’ai déjà bien avancé, et je suis sous le charme de cet épisode. C’est joli comme tout pour de la Nintendo DS, les décors sont soignés, toujours cette atmosphère gothique et sombre que j’adore, une réalisation fine et subtile. La difficulté est bien présente, et ça fait plaisir un peu de challenge ! Je vous dirais ce que j’en ai pensé plus en détails sur les réseaux sociaux lorsque je l’aurai terminé, mais pour l’instant, que du bonheur.
Splatoon 2 (Nintendo Switch)
Ah, un autre jeu que du Castlevania ce mois-ci, bah oui quand même. J’ai joué beaucoup à Splatoon 2 sur Nintendo Switch ce mois-ci, grâce aux nombreux events, et puis pour passer le temps à foutre de la peinture partout sur mon passage. Virtuellement bien sûr. Je prend toujours autant de plaisir à jouer à ce Splatoon 2, c’est rythmé, c’est frais, ça énerve beaucoup mais c’est quand même plaisant à jouer. De nombreuses mises à jour sont arrivés, pour ajouter du contenu comme des armes, des arènes, et j’en passe. Forcément, ça attire toujours ma curiosité, et je suis parti pour des heures. J’ai joué aussi avec certains d’entre-vous pour quelques matchs, j’ai beaucoup perdu, mais j’ai aussi beaucoup gagné. Je passe toujours un bon moment avec ces Inklings déjantés, ça détend mais ça fait rager aussi. Bref, c’est Splatoon 2 quoi, et c’est indispensable.
Bulb Boy (Nintendo Switch)
J‘ai écrit son test ce mois-ci, et j’ai particulièrement adoré cette aventure lugubre et malsaine. Je parle bien évidemment de Bulb Boy, disponible un peu partout, même sur smartphones. Mais pour le blog, j’ai eu la chance de pouvoir y jouer sur Nintendo Switch, en mode portable, écouteurs dans les oreilles, tout pour passer un bon moment. Malgré sa courte durée de vie (2/3h environ pour le finir), Bulb Boy est devenu un gros coup de cœur. C’est un Point’n Click intelligent, bourré de bonnes idées, avec une direction artistique flippante mais tellement jolie. Les énigmes sont bien fun, le gameplay aussi, qui intensifie au fur et à mesure. Bulbware nous a concocté un hit, à un prix accessible, que je recommande à tout le monde. Une pépite à faire absolument.
Phantom Trigger (Nintendo Switch)
Bah oui les copains, encore un jeu sur Nintendo Switch et encore un jeu indépendant. Il faut dire que j’en ai testé pas mal ce mois-ci sur le blog, vous pouvez d’ailleurs retrouver le test de Phantom Trigger juste ici ! J’ai pris beaucoup de plaisir à jouer à ce Hack’n Slash dans les mêmes conditions que pour Bulb Boy, afin d’être vraiment captivé par le jeu. Malgré sa difficulté assez prononcée et son univers un peu brouillon, j’ai terminé Phantom Trigger avec plaisir (et aussi avec soulagement). Fier d’avoir réussi à atteindre les crédits du jeu, ce n’était en revanche pas si simple. Mais ça en vaux la peine quand même, rien que pour ma satisfaction personnelle. L’univers néon-rétro lui va tellement bien, beaucoup de possibilités de gameplay, on y joue par courtes sessions, globalement on passe de bons moments. Il n’est pas exempté de défauts, quelques bugs, quelques ralentissements, quelques chargements assez pénibles, mais en creusant, on y découvre un jeu assez surprenant. J’ai beaucoup aimé Phantom Trigger, et encore plus sur Nintendo Switch.
Sonic Mania (Nintendo Switch)
Je l’attendais avec beaucoup d’impatience, et il est enfin à la maison depuis quelques jours, Sonic Mania sur Nintendo Switch. Je vous avais donné « 5 bonnes raisons de craquer pour Sonic Mania » ainsi que l’unboxing de l’édition collector du jeu. Et mon avis sur ce jeu n’a pas changé, du bonheur, du bonheur, du bonheur. De la nostalgie aussi, beaucoup, avec un soupçon de passion et de joie. J’y joue très régulièrement, avec tous les personnages afin de découvrir toutes les fins possibles, et surtout, tous les niveaux que regorgent Sonic Mania. Et c’est du tout bon, ça fait plaisir de revoir Sonic, et davantage en 2D, surtout dans un tel opus. C’est juste parfait, je n’ai aucune chose négative à dire à son sujet, je m’amuse autant que lorsque j’étais enfant avec ma Mega Drive. Sonic Mania c’est du vieux avec du nouveau, et c’est ultra efficace. Bravo SEGA, vous avez pondu un titre formidable.
Forma.8 (Nintendo Switch)
Je ne l’ai pas encore terminé, mais pour l’instant je suis plutôt conquis par Forma.8 du studio Mixed Bag. Un Metroidvania captivant, relaxant, intelligent, tout ce que j’aime ! Et pour ne pas changer les bonnes habitudes, j’y joue également en mode portable, confortablement installé dans mon lit ou sur mon canapé, et je passe de bons moments. Forma.8 n’invente rien, mais ce n’est pas ce qu’on lui demande, il possède des atouts indéniables, comme sa direction artistique absolument exquise, sa manière de jouer saisissante ainsi que cet aspect de liberté que l’on ressent instantanément. On voyage, on découvre de nouveaux horizons, on est face à de nombreux ennemis, d’énigmes aussi, mais toujours avec cette notion d’inconnu et de découverte que j’adore. Disponible en téléchargement sur l’eShop Nintendo Switch, je vous le recommande fortement.