[TEST] Sekiro : Shadows Die Twice, 5 bonnes raisons d’y jouer
Bon, ça vous tente qu’on parle de mon jeu du moment hein ? Je vous bassine assez souvent sur les réseaux avec Sekiro : Shadows Die Twice, alors un p’tit test n’est pas de refus. Aujourd’hui, il est temps de vous donner 5 bonnes raisons de jouer au jeu, de franchir le pas, et de vous éclater sur l’uns des meilleurs jeux de ce début d’année 2019. Je n’ai pas encore terminé Sekiro : Shadows Die Twice les amis, pour tout vous dire, je suis face au boss de fin, qui me laisse particulièrement un gout amer après être mort une trentaine de fois. Alors afin de canaliser mon stress et toute cette tension, j’ai décidé d’écrire cet article, et de vous donner envie de connaitre ces sensations à votre tour haha. Alors, pourquoi faut-il absolument jouer au dernier bijou de From Software ? J’espère que mon test vous donnera envie de vous y mettre, bonne lecture à tous ! ♥
Être dans la peau d’un shinobi
Habituellement, dans les productions From Software, nous devons créer nous même notre personnage, en choisissant sa classe, sa couleur de cheveux, ses yeux etc. Ici, dans Sekiro : Shadows Die Twice, c’est bye bye la personnalisation, et bonjour le perso imposé au nom de Sekiro, nom du shinobi que l’on va incarnait durant toute l’aventure. Mais pas n’importe quel shinobi non plus hein, un maître dans l’art du katana, au service d’un jeune seigneur à la frange noire (belle coupe Franck Provost), héritier du sang du Dragon, rien que ça les gars. C’est une première pour From Software, de se lancer dans le monde des ninjas et des samouraïs, et c’est très réussi. Habitué de voir le studio dans des mondes médiévaux, avec des chevaliers et de grandes armures, ça fait du bien un peu de renouveau. Après un Bloodborne absolument délicieux, Sekiro : Shadows Die Twice à tout pour vous plaire également. Quel plaisir d’y incarner un shinobi, avec sa rapidité, sa furtivité et ses techniques de combat incroyablement précis. On en redemande !
Contempler une direction artistique incroyable
Sekiro : Shadows Die Twice c’est aussi une direction artistique à tomber, accompagnée d’un sound design somptueux, et d’une bande sonore en totale adéquation avec l’environnement. From Software s’est bien amusé à créer de nombreux panoramas incroyables à contempler et à parcourir. Des décors aux ambiances diverses et variées, le studio s’est vraiment surpassé, afin de retranscrire parfaitement l’ambiance et l’harmonie d’un Japon des années 60. Passer par des montagnes enneigées, des villages inquiétants, des vieux temples sacrés, c’est tellement dépaysant, indescriptible ! Opter pour de magnifiques couleurs automnales et hivernales, misant très souvent sur le orange et le blanc, est un choix remarquable et qui fonctionne à fond, visuellement, c’est très joli. Ce ne sera sans doute pas la grosse claque de l’année non plus, il y a bien plus beau que Sekiro : Shadows Die Twice mais quand même, le charme du jeu n’est pas à ignorer. Une qualité graphique qui mérite totalement d’être souligné !
Découvrir un gameplay enrichissant et captivant
Notre shinobi va avoir la possibilité de s’équiper d’un nombre incalculable d’armes et de compétences. Son bras sera le point clé de sa progression, fraîchement coupé par le vilain pas beau de l’histoire (on arrête ici pour les spoils), on aura la chance d’en avoir un de secours. Bras couteau suisse aux nombreuses fonctions, Sekiro aura la chance de s’en servir contre ses ennemis, implanter une hache, des pétards, des lames empoisonnées ou encore des shurikens, bref il va avoir le choix des armes. Certaines seront plus efficaces que d’autres, on pourra d’ailleurs les améliorer grâce à l’arbre des compétences, permettant d’augmenter leurs efficacités. Sekiro : Shadows Die Twice c’est surtout son grappin, que l’on va utiliser tout l’temps, dans ce monde tout en verticalité, et ça change tout les amis, tout ! Etre furtif, rapide comme un ninja, sauter ici et là, aller sur le toit d’une maison, hop, je m’accroche la-bas… C’est ultra jouissif ! Et puis ça permet aussi de prendre la fuite à certains moments critiques, franchement j’ai kiffé le grappin, c’est validé !
Shadows Die Twice, c’est le titre du jeu, et il le porte bien. Notre héros aura la chance de pouvoir ressusciter si jamais il trouve la mort, et croyez-moi, ça va vous arriver très très fréquemment haha. Mais mourir souvent et ressusciter à volonté à un prix, que je vous laisse découvrir par vous-même. Mais ce que je peux vous dire, c’est que les PNJ ne vont pas être très très contents… Mais heureusement que vous êtes un shinobi, un dur, un vrai, et que vous allez surmonter toutes ses épreuves, en tentant de ne jamais mourir, de bien vous soigner afin d’aller le plus loin possible ! Oui, c’est ce qu’on se dit au tout début du jeu, mais hélas, ça ne dure pas bien longtemps. Armé de votre katana, vous allez devoir survivre à de nombreux spécimens un chouilla inquiétants, et ça ne va pas être de la tarte…
Faire face à de nombreux boss sur votre chemin
Si tu voulais faire des rencontres sympathiques dans ta région, et bien c’est raté, parce que dans Sekiro : Shadows Die Twice, on est pas là pour rigoler. Si vous êtes habitué aux productions From Software, et bien rien de nouveau sous les étoiles, les gros boss sont de retour, pour vous jouer un mauvais tour. Mais attention, contrairement aux Dark Souls et autre Bloodborne, Sekiro : Shadows Die Twice demande de la patience, de la persévérance et de la concentration. Oubliez tout ce que vous connaissez des jeux du studio, là il faut tout réapprendre. Se protéger, esquiver, contrer, lancer le grappin, on est dans une approche de fight totalement différente des autres jeux de From Software. De gros vilains boss aux nombreuses barres de vie, ça aussi c’est nouveau ! Heureusement qu’il est possible de les avoir par surprise afin d’en supprimer une tranquille. Mais ce n’est pas tout, dans Sekiro : Shadows Die Twice, il y a aussi des mini-boss, optionnels pour la plupart mais fortement recommandés de vaincre afin de récolter de très utiles items.
Moins marquant que les monstres des Dark Souls, j’ai quand même surkiffé certains boss, et d’autres m’ont vraiment mener la vie dure. Mais c’est le jeu ma pauvre Lucette, je n’en suis pas mort pour autant, enfin presque.
Mourir, apprendre, et réussir
En parlant de mourir, vous allez mourir dans Sekiro : Shadows Die Twice ça c’est certain ! Mais c’est pour votre bien aussi, mourir et se relever fait partie de l’apprendre Sekiro : Shadows Die Twice, et vous allez voir que cela devient vite addictif. Bien maîtriser le gameplay, analyser, utiliser les nombreux objets à disposition, tenter un combat, mourir mais recommencer avec une autre approche, c’est totalement ce que souhaite From Software comme démarches. Le jeu est difficile, n’a pas de « mode facile » mais pas grave, ce n’est pas insurmontable non plus. Il faut être patient, apprendre de ses échecs pour être de plus en plus fort. Si j’y arrive, tout l’monde peut y arriver ! Combien de fois je me suis dit que je n’y arriverais jamais face à tel ou tel boss, et puis pour je n’sais quelle raison, j’y arrive ! Il faut tenter encore et encore, de l’entrainement, de l’acharnement, et ça paie à chaque fois.
Alors, si vous n’avez pas peur de relever le défi Sekiro : Shadows Die Twice, et je vous le souhaite fortement, vous allez vivre une expérience hors du commun, incroyable même. Le jeu n’est pas exempt de défaut, notamment une caméra très capricieuse ou bien des soucis de ralentissements et de lags sur Xbox One S et PS4 Slim, mais à part ces quelques points, c’est du solide ! From Software, merci pour Sekiro, du fond du cœur. Une base solide pour une éventuelle suite, qui je l’espère, sera encore plus jouissive !
C’est un super test que tu nous as fournis ! Le jeu fut vraiment très agréable et c’est celui sur lequel j’ai le plus accroché parmi les jeux de FS ahahaha. Merci encore pourble contenu que tu nous fournis très régulièrement 🙂
– Merci à toi pour ton retour ! Oui moi aussi j’ai vraiment bien adhéré à cet univers. J’ai une préférence pour Bloodborne quand même, mais Sekiro 👌🏼❤️
Honnêtement, je pensais vraiment à abandonner le jeu dès les premières heures. « Sekiro : Shadows Die Twice » est vraiment compliqué comme titre. Eh oui, vous allez mourir plus de deux fois !
– Ah bah ça c’est sûr, je suis mort bien plus que deux fois haha. Merci à toi pour ton commentaire !
Je t’en prie. Ça fait plaisir de réagir. Je ne sais pas si je dois comparer Sekiro à Dark Souls III.