[BILAN] Castlevania et moi, les signes d’un amour naissant
Cela fait maintenant quelques temps que je parle régulièrement de Castlevania sur le blog, sur les réseaux sociaux, en stream ou encore sur ma chaîne YouTube. Depuis plus d’un an, je me suis lancé dans la découverte de la saga, découverte tardive certes, mais comme je le dis souvent, il n’est jamais trop tard pour s’enrichir et pour s’ouvrir à de nouveaux horizons. Mon Castlevania’s Trip n’est pas encore achevé, il me reste encore beaucoup de choses à voir, à découvrir, mais l’idée de rédiger un article « bilan » comme je l’avais fait pour la saga Kingdom Hearts m’a traversé l’esprit. Et le voici, mon ressenti concernant la licence Castlevania, du moins une partie de ce que j’en ai vu, et dieu sait qu’il m’en reste encore énormément à voir. Alors oui, ce n’est pas un réel bilan, il se peut que l’article soit mis à jour avec de nouvelles choses, ou alors un deuxième article sera probablement publié concernant Castlevania, je ne sais pas encore. Mais une chose qui est bien certaine, c’est qu’à ce jour, je vais tout vous dire, tout vous dévoiler, de ce que je vis avec la licence de Konami. Castlevania et moi, les signes d’un amour naissant, bonne lecture à tous.
Pourquoi découvrir la saga Castlevania ?
Ceux qui s’intéressent de près ou de loin au monde du jeu vidéo connaissent forcément la licence Castlevania, elle fait partie des plus importantes, et ce depuis sa création, vers la fin des années 80. J’ai toujours connu la licence, principalement de nom, grâce à ce que je lisais, grâce aux retours des joueurs, ou bien parce que la saga Castlevania possède une forte popularité, une communauté grandissante, et cette réputation de légende. Même en n’ayant jamais joué à un opus Castlevania, tu es obligé d’en avoir entendu parler ne serait-ce qu’une seule fois. Cela fait tellement partie de la culture populaire que tout le monde sait ce qu’est Castlevania. Alors oui, moi aussi je savais ce que c’était, mais je n’avais jamais pris réellement le temps de plonger dans cet univers inconnu. Les seules choses que je savais de la licence c’était qu’il s’agissait, du moins dans les premiers opus, d’une série de jeux de plateforme, dont le héros au fouet légendaire avait le devoir de vaincre le maître des vampires : Dracula. C’est d’ailleurs un excellent résumé, car dans la plupart des titres, c’est à peu près le même scénario, à quelques exceptions on est bien d’accord. Cependant, aujourd’hui, après avoir joué à plusieurs épisodes, après m’être familiarisé avec ce style de jeu et cette atmosphère particulière, je peux juste vous dire cette chose, je suis tombé littéralement amoureux de Castlevania. Merci qui ? Non, pas ceux que vous pensez, bande de coquins, merci à ceux que je vais citer juste en dessous.
Qui ou quoi m’a donné envie d’y jouer ?
Comme je le disais précédemment, je connaissais Castlevania sans y avoir joué, et il y a deux facteurs qui m’ont réellement donné envie de passer le cap. Dans un premier temps, la série sur Netflix. En effet, pour ceux qui ne sont pas au courant, depuis juillet 2017, il existe une série anime Castlevania sur Netflix, une seule saison de seulement 4 épisodes, une introduction pour mettre en place les personnages. Je me souviens mettre dit : « Allez, pourquoi pas, vu que je connais très mal la licence », et une fois terminée, je n’avais qu’une seule envie : jouer aux jeux de la saga. Mais quand on découvre une saga aussi riche et remplie que Castlevania, difficile de savoir par où commencer. Mais heureusement, qu’un streameur que vous connaissez peut-être, fan de Castlevania (ça tombe très bien) va m’aiguiller et me conforter davantage à m’y intéresser. Zelgius, oui j’en ai déjà parlé ici, plusieurs fois sur le blog, mon streameur favori. Effectivement, j’aime beaucoup ce qu’il propose sur sa chaîne, souvent du speedrun sur des jeux rétrogaming, comme Resident Evil 2 ou encore sur du Castlevania. Toujours de très bons conseils et à l’écoute, Zelgius m’avait aidé pour débuter ce Castlevania’s trip dans de bonnes conditions. Et puis, il m’a surtout donné encore plus l’envie de découvrir pourquoi cette licence est tant appréciée par les joueurs. Je le remercie énormément, c’est grâce à lui que j’aime de plus en plus Castlevania. Merci l’ami !
À la recherche des jeux Castlevania
Maintenant que j’étais surmotivé à découvrir Castlevania en long, en large et en travers, je n’avais plus qu’à tenter de trouver en format physique, les divers jeux de la saga. Et depuis 1986, il y en a eu des opus, sur console de salon, sur console portable, sur NES comme sur Nintendo DS en passant par PlayStation 2, heureusement qu’à la maison, j’ai pas mal de consoles pour pouvoir accueillir les différents jeux sortis. Mais depuis 1986, et bien il y a des jeux qui se font plus rares que d’autres, et qui dit rares dit très chers oh my godness. Limite il faut faire un crédit à la consommation pour s’offrir quelques titres de la licence tellement que leurs prix sont abusés. Mais c’est le jeu ma pauvre Lucette, et en attendant de les trouver à un prix raisonnable, j’ai préféré m’attaquer aux plus « abordables ». Alors j’ai commencé à m’offrir certains opus, notamment ceux en 3D, certes pas les meilleurs selon les fans, mais quand même. Alors bienvenue Castlevania : Lords of Shadow 1 et 2, bienvenue Castlevania : Lament of Innocence, vous serez les premiers à être testés. Et puis, grâce à la NES Mini, j’ai pu aussi tester les trois premiers opus, en attendant de pouvoir les acquérir en physique. Et puis, grâce à la Super Nintendo Mini, j’ai eu la chance d’enfin jouer à Super Castlevania IV, tant apprécié par les joueurs et vanté par Zelgius.
Et quand on est lancé dans un tel périple, on ne peut plus s’arrêter, du coup je me suis également procuré la compilation Castlevania : The Dracula X Chronicles, sorti sur PSP. À l’intérieur, on y retrouve trois épisodes de la saga : la version originale de Castlevania : Rondo of Blood inédite en Europe, son remake exclusif à la PSP et Castlevania : Symphony of the Night, qu’il fallait débloquer dans le remake PSP, considéré comme le meilleur Castlevania. Personnellement, je n’ai pas réussi à y jouer correctement, l’écran est beaucoup trop petit pour que je puisse l’apprécier à sa juste valeur, mais ce n’est que partie remise. Une chose est certaine, c’est que lorsqu’on touche à la licence Castlevania, on a envie d’en avoir encore et encore. La drogue de Konami est efficace !
Un style unique en son genre
Ce qui m’a le plus séduit en jouant à ces quelques épisodes de Castlevania, c’est l’ambiance et le style de chaque épisode. La saga gothique de Konami excelle sur différents points, notamment l’ambiance visuelle et sonore. Je suis clairement amoureux du level design des jeux Castlevania, de ce style propre, des illustrations magnifiques d’Ayami Kojima, illustratrice et conceptrice artistique japonaise sur la série, ou encore les musiques, notamment celles composées par Michiru Yamane. Et quand on se lance dans une aventure pareille, on est facilement intéressé par tout ce qui entoure, j’ai voulu en savoir davantage sur la famille Belmont, acheter des bouquins concernant l’histoire de la saga etc. Et je suis encore très loin de tout savoir, et c’est tant mieux. Ce n’est clairement pas une course, j’ai tout mon temps, je déguste à petites gouttes, comme Dracula avec le sang de ses victimes. Mais à mon avis, il va m’en falloir pour me rassasier, j’ai encore tellement soif de connaissance.
Je ne suis qu’au début du voyage
J‘ai encore du chemin à parcourir, encore tant d’épisodes à découvrir, avec, je l’espère, cette même fascination que j’ai eu pour les précédents (oublions Lords of Shadow 2 s’il vous plait). Il n’est jamais trop tard pour apprendre, pour découvrir, pour s’instruire, et c’est tout à fait mon cas avec Castlevania. Comme quoi, une simple série et des discussions amicales peuvent tout changer. Castlevania est loin d’être accessible certes, mais est tellement incroyable. Je dois avouer que je ne m’attendais pas à aimer autant, et je n’ai pas encore tout vu, il me reste encore pas mal à faire, notamment les opus sur Nintendo DS et le grand Symphony of the Night. Cela fait plus d’un an que je suis en quête des opus de la saga, à mon rythme, sans précipitation. Je ne sais pas combien de temps il me faudra pour tous les essayer, tous les terminer, mais je ne suis pas pressé. En tout cas, j’ai hâte de poursuivre ce voyage, et je remercie encore une fois tous ceux qui, de près ou de loin, m’ont motivé à me lancer, m’ont aidé dans cette grande chronologie qu’est Castlevania. Curieux de voir ce que seront mes sentiments en découvrant les épisodes qui me sont encore inconnus, je vous en parlerai surement prochainement sur les réseaux. Je ne peux que vous conseiller de vous lancer vous aussi, si vous n’avez pas peur du challenge, de devoir retourner sur d’anciennes consoles, afin de jouer aux reliques du passé, et quel passé mythique pour Castlevania, espérons que Konami se réveille et ressorte des opus aussi géniaux qu’avant. On y croit !
Ah tu as toujours cette plume que j’apprécies 🙂 La saga Castlevania est tellement riche comme univers, j’adore aussi les graphismes et les musiques, mais je n’y ai pas beaucoup joué. On sent que tu es exalté par cette découverte, et ça fait bien plaisir de lire des articles comme ça:)
– Ça me fait extrêmement plaisir ! Merci l’amie ! Ouais, j’avoue que Castlevania me captive de plus en plus, j’espère qu’on aura le droit à son retour. 🙂